• Lisez aussi : Le voyage controversé de Justin Trudeau : belle maison de vacances à Tofino • Lisez aussi: Justin Trudeau teste positif pour COVID pour la deuxième fois depuis janvier 2022 « Quelqu’un doit être gardé à la maison, et je le suis. Je n’ai jamais cessé de travailler au fil des ans, mais je l’ai fait sur une base volontaire », explique la mère de trois enfants. Maintenant, elle se concentre sur l’écriture d’un livre sur la santé mentale et admet qu’elle a parfois de mauvais jours. “Je pense que si vous posez la question à toutes les personnes qui ont fait de la politique, il est certain que certains jours sont plus faciles que d’autres. Nous sommes humains, mais il est important de rester ancré chez soi. Je me rappelle souvent que peu importe les projecteurs, il faut rester ancré », dit-il. Très impliquée dans la cause de la santé mentale, l’épouse du premier ministre a constaté que les demandes d’aide chez les jeunes se multiplient en raison de nombreux facteurs, dont la pandémie. « Nous nous ressemblons tous un peu. Nous avons besoin d’être aimés, compris et validés. Je vois qu’il y a des gens qui grandissent et je suis très conscient, en tant que représentant, qu’il y a du stress. On sent que le taux de dépression augmente et que les besoins alimentaires augmentent, donc les jeunes souffrent », explique Sophie Grégoire-Trudeau. La semaine dernière, deux questions ont défrayé la chronique et retenu l’attention de la Première Dame. Grande féministe, elle veut en savoir plus sur les vrais enjeux derrière le licenciement de Lisa LaFlamme, cette grande présentatrice de CTV News. « Dès que j’entends qu’une femme peut subir une injustice, bien sûr elle vient me chercher. J’aimerais entendre la voix de la vérité derrière cette situation et je serai toujours là pour protéger les droits des femmes dans un monde qui, il faut le dire, a encore des inégalités qui font partie du système », déclare l’ancienne animatrice. . Il ne comprend pas pourquoi un drame a été créé à cause des images diffusées montrant le Premier ministre finlandais dansant. « Nous n’avons pas à juger ce qui se passe dans leur chambre ou sur leur terrain de jeu. [durant leur temps personnel] pourvu que ce soit fait dans le respect », explique Mme Grégoire-Trudeau. Elle a terminé l’interview en se demandant si le traitement aurait été le même s’il s’était agi d’un homme pris en vidéo. Regardez l’intégralité de l’interview dans la vidéo ci-dessus.