• A lire aussi : En français ! Numéro d’épisode 3435764128 • A lire aussi : La qualité du français : ce n’est pas un non-sens Lors du passage du Journal dans la ville bilingue située sur l’île de Montréal, un employé de la Ville, découragé, s’affairait à enlever tous les autocollants qui se trouvaient sur les panneaux d’un secteur. Il a ensuite supprimé plus d’une dizaine d’avis “stop” affichés dans le sud de la ville des 20.000. Selon des photos circulant sur les réseaux sociaux, au moins trois hommes d’un collectif appelé Nouvelle Alliance ont été impliqués dans l’opération qui s’est déroulée dans la nuit de samedi à dimanche. mouvement d’indépendance “Un panneau d’arrêt […] c’est une preuve tangible et vivante du langage utilisé par une communauté, un témoignage politique, la signature visuelle de l’adhésion ou du rejet de la majorité », a expliqué le groupe, qui se présente comme un mouvement de jeunesse pour l’indépendance et le nationalisme. médias. Le Service de police de Montréal a confirmé qu’aucune enquête n’a été lancée sur ces événements. “Nous n’avons pas déposé de rapport de police, préférant intervenir rapidement de notre côté sans attendre une intervention policière qui n’aurait probablement abouti à rien”, a déclaré la directrice de la Ville de Mont-Royal, Ava L. Couch. . Juridique Cependant, en conservant ces panneaux « stop », la Ville de Mont-Royal ne commet aucune infraction linguistique. En effet, l’Office québécois de la langue française accepte à la fois les versions française et anglaise de la fameuse marque rouge, cette dernière étant considérée comme une convention internationale. La réglementation québécoise en matière de signalisation routière permet également leur utilisation. « Si les appellations ‘Arrêt’ et ‘Stop’ sont sur un pied d’égalité et s’équivalent, pourquoi ne pas céder la place à la première, comme le font la grande majorité des municipalités québécoises ? écrit le collectif de la Nouvelle Alliance. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.