Au prix de 2 à 3 euros de l’heure, cette mesure intervient à un moment où l’inflation est forte, suscitant beaucoup d’incompréhension. De nouvelles enseignes au sol blanches “moto payante” sont apparues pendant les vacances dans la rue parisienne. Ils annoncent la fin du stationnement gratuit des deux-roues motorisés thermiques (2WD) dans la capitale. A partir du 1er septembre, date de la rentrée, les propriétaires de motos ou scooters non électriques devront payer pour se garer dans l’une des 42.000 places qui leur sont attribuées dans la rue. “Ce n’est jamais le bon moment pour de telles mesures. Mais cela fait partie de notre politique de déplacements qui favorise une mobilité plus douce, moins émettrice de gaz à effet de serre, résume David Belliard, adjoint au maire de Paris chargé des transports. Nous voulons aussi réduire les nuisances sonores et réglementer le stationnement illégal des deux-roues motorisés, comme ce fut le cas dans les années 1970 pour les voitures lorsque le stationnement payant est entré en vigueur. Mais aujourd’hui on ne met plus de pièces dans l’horodateur :…

    Cet article est réservé aux abonnés.  Vous avez 82% à découvrir.

Cultiver sa liberté, c’est cultiver sa curiosité. Abonnement sans engagement

            Déjà enregistré?  Lien