« Les valeurs profondes du rugby exigent une parfaite vigilance pour les faire respecter. La Fédération a fondé son action sur la protection de toutes ses populations, les travailleurs font évidemment partie de ses priorités. précise le communiqué de la FFR qui ne mentionne pas une seule fois le nom de Claude Atcher. “La décision est prise à titre conservatoire dans l’attente de la réception des conclusions de l’inspection du travail, qui prescrira les mesures à prendre. Chacun a la possibilité de défendre ses droits.” poursuit la Fédération. Vendredi, un conseil d’administration extraordinaire du GIP se réunira pour entériner cette décision. Il est rappelé que l’Etat détient 37% des droits et obligations du GIP, la FFR 62% et le CNOSF 1%.